samedi 17 mai 2014

EDA - Présentation et postulats (Page 1/2)





          Les chapitres précédents (voir l’Essai sur l’EDA à télécharger ou les pages du blog EDA (http://eda-andromede.blogspot.fr ou http://www.eda-andromede.com ont brièvement décrit les différentes formes économiques et démocratiques, les attentes citoyennes et l’éthique de l’Avenir. Séparant le bon grain de l’ivraie, triant les informations selon une fibre que j’ose qualifier d’humaine, j’ai sélectionné les principes, les règles, j’ai tenu compte des principales attentes citoyennes, des défauts majeurs du capitalisme et du musèlement citoyen de la démocratie représentative.

     L’économie est donc l'activité humaine qui consiste en la production, la distribution, l'échange et la consommation de biens et de services. Le capitalisme est l’accumulation sans redistribution du profit généré par les activités commerciales.


     La démocratie représentative est un système où vous votez pour les idées (avoisinantes aux vôtres) d’un représentant politique. Une fois le vote passé, vous êtes destitué de tout pouvoir, de toutes formes d’actions hormis la contestation, avec ou sans mégaphone. Si la tyrannie c’est « ferme ta gueule » et la démocratie représentative « cause toujours », l’EDA c’est « agis maintenant ».


     Le paradigme de l’EDA est donc d’unir l’économie et la démocratie sans en passer par les urnes. Sa philosophie se rapproche des postulats suivants :  




  • L’économie est là pour servir les gens et non l’inverse.
  • Le développement se mesure aux hommes et non aux objets.
  • Le développement de l’homme ne passe pas forcément pas la croissance.
  • Aucun processus économique ne peut se dérouler à la marge de ce que fournissent les écosystèmes.
  • L’économie est un sous-ensemble d’un système majeur fini et clos, qu’est la biosphère. Par conséquent, la croissance infinie est une impossibilité.
  • Le profit mène à l’individualisme.
  • Le surprofit dénature l’essence positive de l’économie.
  • L’opacité du moyen d’échange créée le surprofit et la corruption.
  • Pour changer de paradigme le citoyen doit s’investir d’avantage.
  • Son investissement créé la démocratie.
  • La démocratie créée les conditions d’une société plus équilibrée.
  • Une société plus équilibrée tend vers le bonheur.
  • Le bonheur est condition de paix sociale.   

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